LE MANOIR
DE LA FORêt

Réserver une table

UNE CUISINE LOCALE ET DE SAISON

De bons produits, pour une cuisine familiale, où tous se retrouvent.

000004810007
@James Nelson

“Une cuisine pleine de bon sens paysan.
Sans oublier la viande ou le poisson, remettre le végétal à l’honneur.”

Du végétal, des fromages, des poissons de Loire, de la friture de gardons, la carte valorise son territoire à plusieurs égards.
Parmi les plats de la maison : une croustillant de brochet, un vol au vent d’escargot ou une géline de Touraine, des ris et rognons de veau comme une « Beuchelle Tourangelle » ou de l’alose (poisson de Loire) accompagnée de pleurotes, shiitake et sabayon aux sucs de champignons, illustrant bien l’audace et la subtilité du Chef.

Une carte locavore

Située à l’orée du Perche, du Loir et de la Grande Beauce, la « Petite Beauce » est un désert de restauration qui voit souvent partir les matières premières, issues de sa riche agriculture à Paris ou ailleurs.

En travaillant avec les pêcheurs, les maraîchers ou les éleveurs locaux, et en conservant les ingrédients sur place, l’engagement éco-responsable de notre cuisine se fait aussi social et permet au Loir-et-Cher de bénéficier, lui aussi, des délices qu’il produit.

Le restaurant

Au restaurant du Manoir, l’esprit est à la bistronomie, à travailler de bons produits, entre authenticité d’antan et twists contemporains. La carte des vins, centrée autour de la Loire, ondoie entre découvertes, références travaillées par de jeunes vignerons, et classiques de la région.

Sur ses banquettes et ses tables en bois, on se retrouve en famille ou entre amis, venus des alentours ou de plus grandes villes. Le dimanche midi y sonne l’heure des retrouvailles, des joyeuses fratries et du mélange des générations.

On y échange saveurs du Loir-et-Cher, récits et bons moments. Fait rare dans l’univers de l’hospitalité, au petit- déjeuner, tout est cuisiné et frais.

À l’heure du goûter et du thé, que l’on s’amuse ou que l’on se soit installé pour télétravailler, la carte poursuit cette exploration de la curiosité et du local qui nourrit Repère Sauvage.

250514_-repere-sauvage17_0057